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Petit chef d'oeuvre du huis-clos, ce film dénonce aussi bien les conditions carcérales en France, que l'asservissement de l'humain en général. Un hymne à la vie et à l'amitié.
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On ne sait trop quoi louer, les images d'une créativité sans commune mesure, ou la musique, qui concurrence d'ors et déjà avec les plus grands compositeurs contemporrains (Stockhausen, Ligeti, Michel Delpech,...)
Recemment LA BANDE a sorti son intégrale cinématographique, l'occasion pour nous de revenir sur l'ensemble de leur oeuvre (deux opus vous sont d'ailleurs proposés en exclusivité sur notre site)
Mais comment font-ils pour être les meilleurs dans tous les domaines ? Alors qu'on croyait leur production en baisse, n'ayant plus sortie de films depuis un certain temps, LA BANDE revient sur le devant de la scène avec un petit chef d'oeuvre de bande dessinée. Comment la qualifier ? Pour en donner le ton, reprenons une pensée d'un des protagonistes Jack Looping " Damn! Je le savais! J'aurais dû invité Elfa, elle s'est encore habillé comme une salope! Quel pute! " Bref, un véritable hymne à la fantasy de qualité, aux héros d'origines bavaroises et aux fées en string.
Voilà un journal qui ose élever la voix et dire tout haut, ce que tout le monde pense tout bas. Nos rédacteurs, triés sur le volet, sont loin des gratte-papiers qui travaillent dans les autres amassis de foutaises qu'on appelle "presse" - des torche-culs, oui! Ici, rien que la Vérité, avec un grand V, comme Victoire!